Re,
elephant, je t'aurai devant moi tu pourais entendre : "Pense même pas à comment t'as rien compris", puis un long soupir et "Pense même p'u".
Je pense que vous m'avez lu et c'est gentil mais suis-je vraiment bien lu ?
Bien sûr que la cellule de Meyer est un condensateur, bien sûr, personne ne le met en doute.
Cependant faîtes attention elephant, s'il vous plaît, j'ai horreur des formules compliquées moi aussi, sachez-le.
Ici, c'est électrostatique et électromagnétique, c'est du gradient, du rotationnel, du divergent, des intégrales et des dérivées. Bref, c'est pas la mer à boire sauf que ça ne se fait pas comme ça : sincèrement.
L'étude sur un début, mais alors vraiment un début est donné là :
http://www.scribd.com/doc/4110288/Run-C ... collection
La vibration de l'eau du pdf cité fait appel à une notion compliquée qui s'appelle la réduction des endomorphismes !!! Sachez, à nouveau, que beaucoup de choses s'étudient et que j'ai une sainte horreur de blablater du sert à rien !
Ici, c'est un passage obligé pour comprendre.
Je vais essayer de répondre à ce que je comprends de vous questions, donné à notre humble :
elephant a écrit :- 1 fréquence de résonance ( qui varient certainement d'une cellule à l'autre, puisque C varie en fonction des dimensions de la cellule et L en fonction de la self en série
Premièrement, il n'y a aucune sorte de résonnance de type RLC dans la cellule de Meyer. La résonnance RLC donne une fréquence pour un débit en courant maximal. Or, il n'y a pas de courant qui circule entre le tube interne et externe ! Ok ?
Deuxièmement, avez-vous fait les calculs avec les valeurs données, pour le condensateur et les selfs ? Cela ne résonnerai jamais !
Ce n'est pas la qualité de condensateur qui est utilisée dans la cellule Meyer !
Une simple apparition magnétique : magique certes, mais simple tout de même.
elephant a écrit :- 2 optimalisation du rapport de temps 0/1 des impulsions et du temps de montée
Sincèrement, j'ai pas compris la question et je n'ose la comprendre.
À mon tour question : quel est la vitesse de réactivité d'une molécule ou d'un atome ?
L'optimisation du temps donnera plus de production mais nous n'en sommes pas là, non ?
elephant a écrit :- 3 apparition d'une tension limite
Je répête que c'est une conséquence : voir le cone de Taylor.
C'est un threshold, situé vers 20kV, qui veut dire aube ou orée en anglais, c'est quand le soleil se lève et qu'il va venir ! De fait, je suis prêt à parier que si la réaction pouvait s'emballer, elle le ferai. J'en reste convaincu mais pour moi, je le répête à nouveau, c'est une contrainte liée au jeu des matières en présence et la manière dont on les travaille.
elephant a écrit :- 4 liaison de ces paramètres ( et donc de l'énergie réellement dépensée ) à une quantité de gaz
Sommes-nous sûr qu'il n'y a que ceux-là ?
Même empiriquement, c'est pas gagné. L'énergie dépensée est de l'ordre de la dizaine de Watt et celle gagnée est de l'ordre de la centaine de Watt, avec un rapport de 5 env. aux réactions optimales, finement réglées notamment en température et sens du courant.
elephant a écrit :- 5 sous quelle forme sortent les gaz produits ? sont-ils ionisés ? ce qui induirait une réactivité chimique plus forte lors de la combustion dans le cylindre ( et donc un rendement supérieur à celui de l'équation de Faraday )
Ça nous le savons, d'où le VIC (Voltage Intensifier Circuit).
Avec Stephen Meyer : l'hydroxyl sort effectivement ionisé.
"Ce qui induirai ..." Là, non, jusqu'à preuve du contraire, cela n'induit pas grand chose tant que nous ne savons pas pourquoi. L'expérience de Stephen Meyer a très vite été comparé à la sonoluminescence ! Et la réactivité chimique n'est pas vraiment définie en chimie !!! (Humour, mais c'est perso, ne le prennez pas mal, s'il vous plaît).
elephant a écrit :6 comparaison tubes nus/tubes isolés
elephant a écrit :en fonction de la réponse à la question 6: faut il employer un matériau ferro magnétique ou pas pour les électrodes, en fonction du résultat que l'on veut obtenir .
Là, je ne comprends franchement pas : nus ou isolés, les tubes sont dans l'eau qui est un isolant. L'eau est chargée certes, mais c'est électrostatique. L'isolant diminuant le magnétisme en jeu, la réaction produira moins, pour chacun (nus et isolés) des optimums trouvés ! Point barre ! Quand à utiliser du ferro-magnétique, écoutez-bien, s'il vous plaît : _JAMAIS_ !!!
L'expérience n'est intéressante que pour connaître la manière dont l'eau se charge, et donc, d'accélerer le processus au démarrage puisqu'il faut attendre que l'eau soit chargée pour qu'elle se produise. Les pas convaincus que l'eau retienne l'électricité n'ont cas mettre la main dedant, en ayant tout éteint au préalable et de prendre une bonne chataigne comme on dit dans le jargon : de l'ordre de 80W. Pour celles ou ceux, surtout celles d'ailleurs, pensez à mettre une main dans la poche, le courant passant par le coeur n'est jamais bon. Sinon, une bonne décharge fait de mal à personne. Humour à nouveau perso : désolé, je n'y résiste pas ... : ))
elephant a écrit :- certains ( ne me demandez pas où j'ai lu ça, Internet est si vaste ) se demandent s'il ne serait pas opportun de bobiner la self autour de la cellule de Meyer, ce qui aurait pour résultat de la secouer ( faire vibrer ) et de créer un effet magnétohydrodynamique d'expulsion des bulles.
( Dans une électrolyse, il se crée souvent un phénomène d'isolation partielle des électrodes par les bulles, ce qui explique pourquoi il y a au moins un brevet ou l'électrolyse se fait sous un flux d'eau )
Les tests dont vous parlez ne sont que pour des indications macroscopiques, comme par exemple des ouvertures ou fermetures de pièces en deça de leur résistance mécanique pour les sertir en force.
M'enfin, vous pouvez toujours essayer : faut des bons courant mais à part massacrer votre belle réalisation ou la transformer en tabouret de camping, je ne vois pas trop à quoi cela va servir.
Votre remarques sur l'électrolyse et sa conséquence est un "non sens" scientifique. On peut lire candide aussi avec les lunettes du Baron Thunder-ten-tronckh revues par le philosophe pangloss ou quelque chose comme ça, mais cela ne fait pas trop avancer.
Ça explique pourquoi nous faisons des recherches sur les électrodes de telles sorte que le résultat n'accroche pas : on le trouve dans certains domaines comme en électro-érosion.
elephant a écrit :- quelqu'un est-il en mesure de nous "sortir des courbes" ?
De quelles courbes parlez-vous dont ?
Des tables de multiplication ? (Humour, à nouveau) ... : ))
elephant a écrit :mettre en lumière de manière chiffrée les phénomènes qui se passent dans une électrolyse à haute tension et montrer si celle ci permet d'obtenir une production de gaz "différente" d'une éléctrolyse basse tension en courant continu.
Si j'avais ses résultats et même si j'en ai pas besoin de part la confiance.
Votre question posée ainsi souffrirai d'une fin de non recevoir.
Pourquoi ? Une électrolyse signifie simplement de travailler avec la matière au niveau atomique ou moléculaire en utilisant un courant. Je répête que cela n'a aucun rapport avec les tension : alternatives ou continues. Ni même en fréquence.
Sur le fond, ce n'est pas comparable à une électrolyse mais nous employons le terme d'électrolyse non classique.
Je suis en train de le faire mais comme je l'ai dit cela prend un temps pas possible : beaucoup de difficultés technique. Celle d'aujourd'hui par exemple : peut-on utiliser des matériaux différents pour relier électriquement les tubes ? J'ai l'impression d'être en train de lire que non : sinon l'aluminium me plaisait particulièrement mais va faire du "brown scum", des moisissures. Vrai ? Faux ?
Chacun avance comme il le peut, n'es-ce pas ?
Réponse dans quelques mois et pas quelques années, j'espère.
Sriliam
Sril, just call me sril